lundi 17 décembre 2007

Déménagement!

Je déménage déjà. Pour être plus à l'aise, pour mieux blogueur, pour plus de plaisir!

Retrouvez-moi à l'adresse unecitadinealacampagne.ch Je vous attends. :-)

dimanche 16 décembre 2007

Rosiers de décembre

Quand nous avons choisi une maison, le jardin était un point important. Ni trop grand, ni trop petit il devait aussi offrir des possibilités multiples comme une terrasse, un coin barbecue et bien sûr du "développement" en vue.
Comme nous avons déménagé fin septembre il n'était pas question de se lancer dans des grands travaux de plantation et autres changements. Toutefois, un minimum s'imposait: la tonte de la pelouse, la taille des haies et la plantation des plantes à bulbes (j'adore les tulipes!) Tout ça fut fait entre octobre et novembre.

Si moi j'aime les tulipes, P'it Mari adore les rosiers. En allant au brico-jardin pour choisir un sapin de Noël j'ai été assez surprise de découvrir juste à côté des sapins, des rosiers en promo! Ben oui, je ne savais pas que les rosiers pouvaient se planter en décembre. J'ai tout à apprendre, que voulez-vous. Pendant que je courrais comme une gamine d'un sapin à l'autre P'tit Mari examinait les fameux rosiers en promo. Au final, nous sommes repartis avec un sapin et deux rosiers.

C'est pas tout ça de choisir des roses mais il faut les planter. C'est P'tit Mari qui s'y est collé. L'endroit était tout trouvé: juste à côté de la cabane de jardin, histoire de donner une touche sympa à une cabane mi-bois mi-tôle pas terrible esthétiquement.
D'abord, creuser un trou:

Pour la profondeur, il suffisait de le faire à la taille des pots qui contenaient les rosiers.

Une fois le trou creusé, il faut déposer les rosiers dedans et remettre délicatement la terre autour. Les planter quoi! Par contre, surtout pas d'eau: le gel pourrait faire des dégâts.


Au final, deux plantes pour l'instant pas magnifiques mais qui devraient donner de magnifiques roses blanches et roses dès le mois de juin.

Je n'ai pas fait de photo mais nous avons encore ajouté des branches de sapin tout autour des rosiers pour bien les protéger du gel.
Voilà, ma première leçon de jardinage s'est résumée à un reportage photo dans des conditions hivernales terribles! Brrrr, j'attends déjà le printemps. ;-)

samedi 15 décembre 2007

Petits dialogues campagnards

Ah l’adaptation à la campagne, ça ne va tout seul pour moi. Il me reste des petits réflexes citadins. Ces deux petits dialogues entre P’tit Mari, né à la campagne, et moi-même, née à la ville sont assez significatifs…

Première scène : En faisant notre lit je découvre sur le sol de notre chambre quelques mouches mortes et un insecte bien vivant non identifié

Moi (pas loin de l’hystérie) : Ahhhhrrrgggg, viens viiite, il y a d’affreuses bestioles par terre dans notre chambre !! C’est dégoûtant !!!!

P’tit Mari (se pointant en bas de l’escalier, très zen) : Mmmh, c’est quoi, des insectes ? Tu sais, on est à la campagne, ça arrive, c’est pas grave.

Moi (ahurie après avoir également découvert des mouches dans les autres chambres) : Mais, mais, c’est dégoûtant, imagine que cette bestiole dégoûtante (encore) dont je ne connais même pas le nom se soit promenée dans notre lit ! Il faut absolument que je change les draps (joint le geste à la parole).

P’tit Mari (toujours en bas de l’escalier, air résigné) : Bon, si tu veux on empruntera la machine à vapeur de mes parents et on désinfectera toute la maison.

Moi (comprenant le chemin qu’il me reste à faire) : ….


Deuxième scène : Il est midi moins le quart, on se tâte pour partir faire des courses.

Moi : Je propose qu’on y aille maintenant, histoire que ce soit fait.

P’tit Mari (très sérieux) : Oui, sauf que je ne sais pas si le supermarché du bled d’à côté sera encore ouvert. Je pense qu’ils ferment entre midi et 13h30.

Moi (incrédule): Hein ?? C’est quoi cette histoire ? Tu me fais marcher là.

P’tit Mari (toujours très sérieux et calme) : Non, non, c’est une possibilité à envisager. Nous sommes à la campagne, pas dans une métropole tu sais.

Moi (atterrée, en pleine crise de consommation aigue) : Mais c’est dingue ça. Non vraiment, j’en reviens pas.

P’tit Mari (du coin de l’œil) : Qui est-ce qui est contre l’ouverture des magasins le dimanche et pour un meilleur traitement des caissières, qui déjà ?

Moi (grommelant, d’une voix à peine audible) : Moi d’accord….

vendredi 14 décembre 2007

Biscuits de l'Avent 2.0

Encore des biscuits! Mais cette fois, quelque chose de plus élaboré. On adore les milanais mais il y a tant de délicieux petits biscuits que ce serait dommage de se priver. :-)

Moi je suis fan des biscuits qu'on appelle les "Nids d'oiseau". On en trouve toute l'année dans les magasins d'alimentation. Ce ne sont donc pas des biscuits de Noël à proprement parlé mais ils sont tellement bon qu'on leur pardonne volontiers... A la base, j'étais un peu timide, je ne nous croyais pas tellement capables de faire des "Nids d'oiseau". Faut dire que c'est un compliqué, bien plus évolué que les milanais classiques. Mais P'tit Mari, beaucoup plus aventureux que moi question cuisine, m'a convaincue d'essayer.

Pourquoi compliqué? Parce que ces biscuits se fabriquent en 3 étapes: d'abord le fond, puis le tour, pour le milieu. Le fond est une base de pâte sablée, le tour moelleux est aux noisettes moulues et le milieu en confiture! Miam, non? Pour saliver un peu, voilà quelques photos:

Voilà le fond en pâte sablée, avant cuisson bien sûr. Cette étape est la plus simple, il suffit de découper des formes dans la pâte abaissée.

Ici c'est le même fond mais avec le tour en pâte à base de noisettes. Il est important de ne pas trop cuire les Nids pour que cette partie reste bien moelleuse, c'est meilleur! Pour mettre cette pâte autour du fond, on peut utiliser un sac à douille par exemple.

Et on termine avec la confiture. L'idée est de mettre de la confiture de fruits rouges. Pour nos biscuits du jour, c'est de la confiture de framboises home made.
Et maintenant, la cuisson. 15 minutes environ à 180 degrés. Voilà donc ce que ça donne au final:

Trop bon! Un peu croquant en dessous, moelleux grâce aux noisettes moulues et sucré-acide avec la confiture de framboises. J'adooore. Bon évidemment, c'est un peu long et ça demande un minimum de patience et de minutie. Mais le résultat en vaut la peine.
Si quelqu'un veut la recette complète, il suffit de demander.

jeudi 13 décembre 2007

A la maison, c'est déjà Noël

Voilà plusieurs jours, peut-être même plusieurs semaines, que j'en avais envie. De quoi? Du sapin de Noël pardis! Le week-end passé, j'étais au bord de l'implosion, il me fallait un sapin. Mais P'tit Mari m'a convaincue de patienter encore un peu, histoire d'avoir éventuellement un joli sapin à Noël et pas un pauvre truc rabougri et désséché.

Aujourd'hui, nous avons profité du jour de congé de P'tit Mari pour faire quelques emplettes spécial Noël, le point de mire restant le fameux sapin. Cette année, puisque nous avons une grande maison, et puisque je suis en pleine therapie "j'aime Noël", nous avons ajouté une décoration de porte d'entrée.

Au brico-déco-jardin du bled d'à côté, j'étais surexcitée. Oubliées toutes mes résolutions d'attendre la vente communale, je le voyais déjà notre sapin. Et P'tit Mari aussi. Même qu'il avait une idée très précise du sapin de ses rêves. Un grand sapin. Un très grand sapin. Il était là, 2m50 de haut, un géant. Quelques minutes plus tard, je craque. On le prend.
Tant pis pour le prix. Et tant pis aussi pour le prix des p'tites choses déco qu'on a choisies pour décorer la table de fête... Bon, j'arrête de parler. Il s'agit de féérie, de joie et de lumière. :-)

Oh le beau sapin... La photo est un peu floue mais elle a un certain charme (du moins à mon avis)


Bienvenue chez nous!


Un ange de l'esprit de Noël?? ;-)

mercredi 12 décembre 2007

Qu'est ce qu'un "blog de fille"?

Je ne connais cette appellation que depuis peu, quelques mois tout au plus. J’essaye encore maladroitement de saisir l’essence de cette idée, vous me direz donc si je me fourvoie complètement. J’ai plusieurs hypothèses, voyons lesquelles :
  1. un blog de fille est un blog dont l’auteur est un individu de sexe féminin
  2. un blog de fille est un blog dont l’auteur est un individu de sexe féminin qui respecte « une certaine ligne éditoriale »
  3. un blog de fille est un blog dont le public cible est essentiellement fémnin
  4. un blog de fille n’a pas de définition spécifique, il suffit qu’il se revendique comme tel/ qu’il soit désigné comme tel
Prenons maintenant chaque hypothèse l’une après l’autre.
1. un blog de fille est un blog dont l’auteur est un individu de sexe féminin
Bien, mais pourquoi dit-on blog de fille, et non blog de femme ? Je veux bien que dans l’expression « blog de fille », le mot « fille » ne se réfère pas une enfant mais englobe plutôt les idées de « nana », de « de femme jeune à la mode » ou quelque chose de ce genre (là encore je ne sais pas trop). Il me semble pourtant qu’il y a une idée de jeunesse, de fraîcheur, même si des exceptions peuvent exister. Par exemple, je doute que l’hypothétique blog d’une avocate de 55 ans qui parle de ses activités paroissiales soit un « blog de fille ». Je me trompe peut-être.


2. un blog de fille est un blog dont l’auteur est un individu de sexe féminin qui respecte « une certaine ligne éditoriale »
Peut-être même doit-on parler uniquement de ligne éditoriale, indépendamment de l’auteur. Mais quelle est cette « ligne éditoriale » ? Shopping, mode, beauté, maternité, vie de couple, des étiquettes typiquement féminines ? Ces sujets sont-ils réservés aux femmes ? Un blog devient-il un blog de fille parce qu’il aborde régulièrement un ou plusieurs de ces sujets ? En dehors des sujets, le ton a peut-être une influence. Le ton du « blog de fille » est souvent léger ou alors franchement « intime », façon confidences. Ensemble, les sujets et le ton, donnent une image du « blog de fille » lambda.
Cette image n’est justement qu’une image. Ce n’est certainement pas parce que quelqu’un parle d’un ou plusieurs sujets sur un blog que ce sont les seuls sujets qui l’intéressent. En clair, ce n’est pas parce qu’un blogueuse parle de beauté et de shopping sur son blog que ces sujets sont les seuls centres d’intérêt pour elle. Vous me suivez ? Passons sur le clivage hommes/femmes très présent dans notre société.

3. un blog de fille est un blog dont le public cible est essentiellement féminin
Ne confondons pas public et public cible. Selon moi, le public est représenté par les visiteurs effectifs d’un blog ; le public cible étant le public que cherche à atteindre l’auteur du blog (il peut être identique au public ou non). Ce n’est pas forcément évident d’avoir un public cible, peut-être bien qu’une majorité de blogueurs et blogueuses n’ont pas défini de public cible précis pour leur blog et se contentent de bloguer sur le sujets qui les intéressent.
Oui, donc, le public cible des « blogs de filles ». Je pense que fatalement les sujets typiques (genre la mode, la beauté) attirent et concernent plus les femmes, c’est ainsi. Quand des billets sur des sujets plus neutres interviennent (genre les voyages, les animaux), les lecteurs masculins sont peut-être un peu rebutés par l’ambiance générale du blog et par les autres billets. Qui sait.
J’ai également l’impression qu’on ne maîtrise pas forcément son public, vient qui veut, lit qui veut, commente qui veut.

4. un blog de fille n’a pas de définition spécifique, il suffit qu’il se revendique comme tel/ qu’il soit désigné comme tel
Cette hypothèse englobe aussi tous les mélanges possibles des autres hypothèses.
A quoi cela sert de revendiquer son blog comme « blog de fille » ? Premièrement, je suppose qu’avec le buzz actuel sur les blogs de filles, cela peut attirer des lecteurs, des lectrices plus précisément. Deuxièmement, avoir une identité définie permet d’avoir une ligne éditoriale plus efficace, plus claire, et donc de moins souffrir de syndrome de
« j’ai-envie-d’écrire-mais-je-ne-sais-pas-quoi-dire ». Troisièmement, faire partie d’une « communauté » permet de rencontrer plein de nouvelles personnes, de sentir entouré, etc.

Au final, aucune de mes hypothèses ne me convainc vraiment, je les trouve toutes un peu réductrices. Ne faut-il pas prendre cette idée de « blog de fille » un peu plus légèrement ? Je dois aussi dire que je me méfie des étiquettes. Pourquoi ne pas simplement bloguer comme on le sent, sans se soucier d’une appartenance à ceci ou cela et jouer avec les conventions ? Grande question de l’identité.
Je suis peut-être un peu bizarre, mais je me considère avant tout comme moi-même (est-ce bien clair ??) avant de me considérer comme une femme. Une citadine à la campagne n’est pas un « blog de fille », c’est juste mon blog.
Que pensez-vous de mes essais de réflexion (un peu brouillon peut-être) ?

Edit: pourquoi on ne parle pas de "blog de mec"?

mardi 11 décembre 2007

Une journée à la ville

Après bientôt 3 mois de vie à la campagne, mon avis s’est forgé : j’apprécie vraiment cette nouvelle qualité de vie. J’enfonce des portes ouvertes quand je le dis, mais je trouve que l’air est réellement plus pur, débarrassé de son odeur de pollution, le ciel est plus bleu et le calme très reposant. C’est un réel bonheur d’avoir toutes ces ballades à nos pieds, au seuil de notre porte. Nous avons aussi hâte de profiter du jardin et de la terrasse, on s’y voit déjà.

A la campagne, point de bruit, point de foule et point de centres commerciaux à proximité. Si le frigo est vide, il n’y a pas de solution à moins de 3 minutes à pied. A vue de nez, je dirais que depuis chez nous on parle de 7 minutes en voiture, ou 12 minutes en vélo, ou encore 25 minutes à pied. En dehors de l’alimentation, mieux vaut prendre la voiture pour rejoindre les premiers magasins décents à un petit quart d’heure. Pour plus de choix, plus de paillettes, plus de fun, il faut encore prendre la voiture et conduire environ une demi-heure. Là, on arrive à ma ville de naissance, petite bourgade de 35'000 âmes. J’y ai passé mon lundi.

J’avais plusieurs objectifs : trouver un nouvel exemplaire de ce modèle de jeans H&M que j’adore et que je porte sans cesse, trouver une paire de gants (je perds ma paire de l’année chaque hiver…), faire quelques courses de Noël, passer un peu de temps sur ma très hypothétique thèse de doctorat. Simplement flâner et humer encore une fois la mauvaise odeur de la ville et aller à mon cours de power yoga.
J’avoue, j’aimé. J’ai aimé faire la consommatrice obsédée. J’ai trouvé tout ce que je voulais. J’ai passé du temps à me faire envie, à m’en mettre plein les yeux. J’ai fait une pause dans le nouveau tea-room du centre commercial. J’ai lu plein de magazines à la bibliothèque (informatique, photo, développement durable), visité deux librairies et passé zéro minute sur ma thèse. Je me suis sentie dans la peau de Charlotte la citadine shoppeuse. Oh joie. J’aurais pu aller à plusieurs expos, me faire un film en fin de matinée dans une salle flambant neuve ou encore aller à la médiathèque. Tout à ma disposition, tout dans l’immédiat. Paillettes et lumières de Noël autour d’un Père Noël en couleur soda.

Et puis je suis rentrée. J’ai rangé mes courses j’ai remis Chalotte la citadine shoppeuse en mode veille pour quelques jours. Ah l’air de la campagne.

J’aime mes deux facettes.

dimanche 9 décembre 2007

Petite sélection de liens utiles ou moins utiles

Aujourd’hui, petite sélection de liens à l’occasion de la mise à jour des liens présents sur ce blog. Je me promène tous les jours sur la toile, parfois même un peu trop longtemps, mais quand j’ai de la chance j’ajoute un site dans mes favoris. J’adore ce moment où je me dis « Ah ça c’est un chouette site que j’ai envie de suivre ». Il peut s’agir d’un site sérieux, particulièrement utile, ou d’un site avec une connotation plus « légère ». Je vais essayer de vous présenter quelques sites des deux catégories. Certains sont très connus, à grande ou à petite échelle, d'autres moins (je pense).

On commence par de l’utile :

tsr.ch
Qu’est-ce qu’on y trouve ? Site de la Télévision suisse romande, chaîne de service public. On y trouve les dernières informations suisses et mondiales, la météo, des vidéos des émissions de la chaîne, parfois des concours, le programme TV de la semaine des chaînes suisses et françaises principales. Et bien d’autres choses utiles comme un test de bande passante.
Pourquoi j’aime ? C’est très pratique pour avoir accès rapidement aux dernières informations, c’est la partie de site la plus visible (bien centré sur la page d’accueil) et celle que je visite le plus souvent. J’apprécie aussi beaucoup de pouvoir regarder les émissions que j’ai ratées ou même les infos (encore).


Ricardo
Qu’est-ce qu’on y trouve ? En gros, la même chose que sur son concurrent ebay, sauf que le site est suisse. Les objets proposés à la vente peuvent être assez insolites, cela vaut presque la peine d’y jeter un œil juste pour se marrer.
Pourquoi j’aime ? C’est moins glam que ebay mais plus amusant je trouve. Le site est à l’échelle de la Suisse et on peut y vendre et y acheter vraiment n’importe quoi. Moi et P’tit Mari y avons écoulé quelques pièces plutôt « difficiles »…


MacBidouille
Qu’est-ce qu’on y trouve ? Toute l’actualité du petit monde Mac, des tests, des articles de fond et des forums d’entre aide extrêmement utiles à mon avis.
Pourquoi j’aime ? Il y a de tout, c’est bien organisé et on a des grandes chances de trouver une réponse à sa question. De plus, j’aime bien me tenir au courant de l’actualité Mac.



Climb to the stars
Qu’est-ce qu’on y trouve ? Il s’agit du blog d’une « célébrité » de Suisse romande. Les médias la considère un peu comme l’experte en blogs de Suisse romande. Elle parle de blogs, de technique informatique et du web en général.
Pourquoi j’aime ? Le contenu est souvent pertinent et bien écrit. La personnalité de la blogueuse est particulière, parfois agaçante, parfois attachante.


Le site du zéro
Qu’est-ce qu’on y trouve ? On y trouve des infos sur le monde de l’informatique et du web, ainsi qu’une belle collection de tutoriels pour apprendre la programmation, à construire son site web et d’autres trucs encore.
Pourquoi j’aime ? Comme son nom l’indique, on part de zéro à chaque fois, c’est très pratique quand on débute avec un langage par exemple. J’aime bien aussi l’aspect communautaire.



Voilà maintenant de quoi se détendre un peu :


L'INFOnet real tv
Qu’est-ce qu’on y trouve ? C’est Le site de l’accro à la real TV qui ne se l’avoue pas. On peut y suivre l’actualité des émissions et des protagonistes de celles-ci. Il y a des résumés, une revue de presse bien fournie des archives assez importantes.
Pourquoi j’aime ? Oui, je l’avoue au monde entier, j’adore suivre ce genre de choses d’un œil. Je n’aime pas forcément rester devant la télé pendant des heures, mais en revanche j’aime bien suivre, être au courant, savoir, toussa.

Dilbert
Qu’est-ce qu’on y trouve ? Dilbert est un employé de bureau lambda qui a la chance de voir ses aventures relatées en BD. Le mieux est de s’inscrire pour recevoir chaque jour par e-mail un Dilbert tout chaud, c’est-à-dire quelques cases seulement mais à mourir de rire. C’est en anglais.
Pourquoi j’aime ? Ben, ça me fait rire quoi. Ah et c’est gratuit aussi, juste pour préciser.


Critik en séries
Qu’est-ce qu’on y trouve ? Voilà un blog parfait pour celles et ceux qui aiment suivre leurs séries US préférées au rythme de leur diffusion originale. Chaque épisode est habilement disséqué et critiqué.
Pourquoi j’aime ? J’adore le ton et je trouve que l’auteur se donne beaucoup de peine pour suivre un tas de séries en même temps : quel courage !



J’espère que cette sélection vous aura plue. Et vous, vous avez des suggestions ?

samedi 8 décembre 2007

Dormir bio

Ah dormir, moi j’adooore ! Je suis une vraie marmotte. Je dors minimum 8h par nuit, plus si possible. P’tit Mari, de son côté, est moins dormeur que moi mais a besoin d’un rythme de sommeil régulier. De plus, comme je l’ai déjà exprimé ici et ici, nous essayons de privilégier les produits naturels et respectueux de l’environnement.

Au début, nous avions un lit du suédois, très simple et assez cheap. Un jour, P’tit Mari s’est levé (et non couché, contrairement à ce qu’on pourrait croire) et le lit a craqué, boum ! P’tit Mari a rafistolé tout ça avec une bonne quinzaine de gros clous mais le tout restait un peu branlant. De plus, le confort de ce lit n’était pas top.

Il faut savoir que je suis petite madame et que P’tit Mari est grand monsieur ; nous avons une grande différence de taille et donc de poids. Résultat : pendant la nuit, je roulais dans le creux créé par P’tit Mari et je faisais des bonds sur le matelas dès qu’il se tournait. Ce n’était agréable ni pour lui ni pour moi. Il fallait que ça change ! Du coup, on a décidé d’investir.

Après pas mal de prospection, quelques prises de tête question budget et une décision finale prise dans une foire, nous dormons merveilleusement bien sur un lit 100% bio. Je vais commencer par les explications, puis je mettrai des photos pour bien comprendre.

Tout d’abord, le cadre de lit : c’est un cadre un noyer, construit sans clou, ni vis, ni colle, sur le principe du puzzle. Il n’y a que du bois massif, rien d’autre.
Ensuite, le matelas et le sommier. Nous avons choisi un concept sommier et matelas en un. Tout est dans une housse et repose sur deux supports en bois, eux-mêmes posés sur le cadre du lit. Le système est conçu comme le corps humain : les os, les muscles, la peau.
Les « os » et les « muscles » sont figurés respectivement pas le sommier en lattes de bois et un matelas en mousse de latex naturel. Ces deux éléments sont dans la housse à base en tissu naturel lui aussi. La « peau » est représentée par un sur-matelas en laine. Le tout est ferme, comme on aime, mais également moelleux sur le dessus, grâce au sur-matelas en laine.
Voilà les photos.



Maintenant, plus de problème de « roulage » et de bonds, je ne sens plus rien du tout, notre couche est stable et agréable. Nous sommes ravis de dormir sur des matériaux naturels et confortables. Après tout, nous passons une grande partie de notre vie à dormir alors autant être bien installés, non ? Je ne verrais aucun inconvénient à ce système, si ce n’est son prix un peu plus élevé que la literie traditionnelle.
Pour celles et ceux que ça intéresse, le cadre du lit a été réalisé en menuiserie, à la commande, et le matelas-sommier est une création de « H.üsler N.est » (si vous tapez ceci dans G.oogle, vous trouverez leur site qui explique tout cela bien mieux que moi).

Dernière précision : ce billet n’est pas du tout sponsorisé, c’est une initiative personnelle.

vendredi 7 décembre 2007

Quand je fais ma Susan

Tout le monde connaît la série « Desperate Housewives » et la maladroite et malchanceuse Susan. Cette fille se débrouille toujours pour se retrouver dans les pires situations : met le feu à une maison par accident, est coincée dehors toute nue, passe à travers un plancher, etc.
Heureusement, je ne suis pas exactement comme Susan. Pourtant, hier après-midi, la silhouette de Susan n’était pas loin…

Comme je l’ai laissé entendre ici, je ne suis pas la meilleure conductrice au monde. Cependant, quand ma voiture veut bien collaborer tout se passe bien (touchons du bois…). Hier après-midi, la malédiction de la voiture s’est abattue sur moi, réduisant à néant mes efforts pour améliorer mes compétences. :-S

Voilà le tableau. Je devais reculer depuis ma place de parking jusque sur une route très passante, ce qui incluait traverser la moitié de la route en marche arrière avant de repartir en marche avant. Bon, déjà, en entrant dans ma voiture, j’étais stressée. Mais la suite allait me démontrer que je n’avais encore rien vu… Je commence donc par reculer doucement, prudemment, en me tordant le cou pour scruter la route, histoire d’éviter les camions o_O. Ça y est, j’ai terminé cette fichue marche arrière, je vais pouvoir repartir chez moi en marche avant, la vie est belle… Sauf que, non. Au moment de passer la première vitesse, je cale. Paf, juste au beau milieu de la route. Sueur froide. Les voitures se faufilent de chaque côté de ma voiture. Je tourne la clé pour redémarrer et… je cale encore. Les voitures passent de plus en plus vite. Je voudrais vraiment être ailleurs. Je recommence encore. Même résultat. Je voudrais disparaître dans un trou de souris mais je crois que la peur me tient bien éveillée. Mes collègues finissent par sortir du bureau, affolés de me voir plantée au milieu de la route. Mon moteur fait vraiment un bruit bizarre mais je tente encore une fois, non je ne veux pas qu’on me pousse au bord de la route, je veux partir !!! Encore raté, le moteur ne fait que crachoter lamentablement. Ultime tentative, avec l’énergie du désespoir. Et… la voiture démarre. Je file aussi vite que je peux (et que la loi me permet ;-) ), le cœur battant et les jambes flageolantes (pratique pour conduire, vraiment).

La honte totale et la peur de ma vie. C’est clair, je ne touche plus à cette voiture jusqu’à ce qu’un garagiste me certifie que tout est en ordre.

jeudi 6 décembre 2007

Petit manuel de survie dans la jungle des artisans

Ah les joies du propriétaire ! J’en ai déjà parlé ici et ici. Maintenant je voudrais revenir sur un point plus précis : comment faire pour survivre à la jungle des artisans quand on ne connaît rien au bricolage, à la plomberie, aux sanitaires, à la ferblanterie, à l’électricité, au carrelage, bref à tout ce qui demande un minimum d’habileté manuelle. C’est notre cas, à moi et à P’tit Mari : deux pauvres intellos en plein apprentissage des gros travaux domestiques.

Jusqu’ici nous avons rencontré : un marbrier, un carreleur, deux électriciens, un chauffagiste, un exterminateur de souris et un réparateur de lave linge ; bon score pour moins de trois mois de vie de propriétaire. Le marbrier a débarqué un autre jour que celui prévu et bien sûr nous n’étions pas là… Le carreleur nous a oubliés/décommandés/rayés son agenda une bonne dizaine de fois, avant de faire un excellent travail, il faut le dire. L’un des deux électriciens est passé mais trop tard, juste pour préciser qu’il repasserait le lendemain. Le chauffagiste a mis des semaines à trouver le problème de notre chauffage puis nous a fait attendre quelques semaines supplémentaires pour nous livrer notre chaudière (oui d’accord, c’est la faute de son fournisseur). L’exterminateur de souris lui, a fait du travail rapide et efficace et ce pour un prix modique, yes ! Concernant le réparateur de lave linge: se reporter à la section bonus « On en ri encore » du présent manuel.

Quelques conseils :
  • Faire une petite prière avant de choisir au hasard un artisan dans l’annuaire (ou alors : demander conseil à des personnes plus expérimentées)
  • Avoir sous la main un très sympathique voisin qui se démène pour vous joindre quand le marbrier débarque sans prévenir (ou alors : rester de piquet à la maison ??)
  • S’assurer qu’on a un bon forfait de téléphone afin de pouvoir harceler le carreleur ET le chauffagiste (et aussi : beaucoup de patience)
  • Ne jamais oublier de passer derrière le chauffagiste avec un seau d’eau chaude, des brosses et une serpillière (rapport aux vidanges foireuses des radiateurs…)
  • Ne jamais s’énerver quand l’électricien vous dit à 17h30 qu’il repassera le lendemain parce que là c’est trop tard et tant pis si vous grelottez dans une maison qui a une chaudière pas branchée (no coment )
  • Insister auprès du chauffagiste pour qu’il passe régler la chaudière avant que la maison ne se transforme en sauna (ou mieux : apprendre seul comment régler la chaudière)
  • Ne pas trop montrer à tous ces artisans qu’on n’y connaît rien et qu’on est à leur merci (essayer d’écouter attentivement les explications des uns et des autres et avoir l’air de comprendre)
  • Et finalement : toujours demander un devis, toujours garder une copie du devis même si on vous assure qu’on vous en enverra une, bien vérifier sur le contrat que des indemnités de retard sont prévues, demander plusieurs devis, rester zen devant l’adversité.

Bonus : "On en ri encore"

Quelques jours après notre arrivée dans notre nouveau nid, nous avons voulu faire notre première lessive. C’était la fête : plus d’horaires, plus de buanderie encombrée, plus de vieilles machines, plus d’affaires des voisins qui traînent partout (oui oui, c’est possible d’aimer faire sa lessive, jusqu’à un certain point…) Donc là, catastrophe : machine bloquée et mini inondation. Ni une ni deux, on appelle le service après-vente pour se plaindre d’une voix très courroucée : « Non mais quand même, cette machine est neuve ! » Quelques jours plus tard, le réparateur débarque. Premier problème : je n’ai pas la clé de la buanderie (c’est P’tit Mari qui l’a) et le double est chez mes beaux-parents. Le pauvre réparateur poireautera une bonne demi heure jusqu’à ce que le problème soit résolu. A cet instant, je commence à me sentir un peu gênée hein…
Une fois entré, on pourrait croire que tout est dit. Erreur. Deuxième problème : la machine n’a aucune anomalie. Ce serait plutôt nous, les apprentis installateurs de lave linge… « Oui Madame, il faut enlever la protection de transport derrière la machine, si non elle ne peut pas fonctionner… ». Rouge de honte. « Au revoir M’sieu, merci hein…

Dernier conseil pour la route : le must c’est un super beau-frère estampillé modèle McGivré 2007, spécialiste en travaux divers. ;-)

mercredi 5 décembre 2007

Choc Thermique

Ça y est enfin ! Nous avons une chaudière ! Fini le bois à aller chercher au fond du jardin, fini le feu à entretenir, fini les odeurs de fumée et les cendres qui s’insinuent partout, fini les matins glacials. Le chauffagiste est venu hier pour nous ramener à l’époque contemporaine, une époque bénie à laquelle on ne chauffe plus au poêle.
Nous n’avons pas eu de chauffage central pendant plus d’un mois et croyez-moi ça commençait à devenir pénible. On ne se rend pas compte du confort de la chaleur, on pense que c’est automatique. Nous allons maintenant apprécier à sa juste valeur ce confort retrouvé.
Oui, nous avons chaud. Chaud. Très chaud… Trop chaud ??? Question d’habitude ? Nous voulions en avoir le cœur net.
Coup d’œil sur le thermomètre : 28.1. Gasp, on pourrait presque ouvrir un sauna. On étouffe ici. Pas sortis de l’auberge quoi.



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Autre chose : faut vraiment que je le dise, les artisans c’est la galère. Quand on ne sait pas faire grand chose dans une maison on est à leur merci et ça craint ! Développement plus tard peut-être...

mardi 4 décembre 2007

L'anti wishlist

Quand j’étais enfant, j’ai écrit quelques lettres au père Noël (tout en sachant parfaitement qui se chargeait réellement de l’affaire cadeaux…). En grandissant, cette histoire de liste de cadeaux m’a un peu passé au-dessus, jusqu’à me dégoûter totalement. Maintenant j’ai horreur qu’on me demande ce que je voudrais pour Noël ou mon anniversaire. Cela vient certainement du fait que j’ai senti à plusieurs reprises dans la phrase « Tu veux quoi pour Noël/ton anniversaire ? » quelque chose comme « Bon j’ai pas envie de me creuser la tête pour te trouver quelque chose donc si tu pouvais me faciliter la tâche ce serait pas mal… » (Comment, qui a dit que je voyais le mal partout ??? ).
Tout ça pour dire que cette année, j’ai envie de faire une anti liste. Une liste de tout ce que je n’aimerais pas recevoir. Voilà à quoi ça pourrait ressembler :

  • des accessoires pour ma voiture : j’aime pas qu’on se moque de moi et de mes aptitudes relativement limitées en matière de conduite…
  • des bibelots divers et variés : j’ai remarqué en déménageant que j’avais déjà beaucoup trop de trucs de ce genre
  • un abonnement à « Femme d’intérieur » ou autre assimilé : faut pas pousser quand même
  • quelque chose couvert de motifs de fourrure de fauves de la jungle : erk
  • quelque chose qui sent ou a le goût de noix de coco : je ne supporte pas cette odeur
  • une machine à café : non, pas de café chez nous, on n’aime pas ça ! (bah oui)
  • des chocolats périmés : oui ça m’est déjà arrivé…
  • un chaton : mauvaise idée
  • des oranges : ben je suis pas en prison que je sache !
  • un livre du rayon « ésotérisme et développement personnel » du supermarché du coin : je suis vraiment pas prête pour ça
Voilà, je crois que c’est déjà pas mal. Update au cas où j’aurais d’autres idées…

lundi 3 décembre 2007

Chat de fenêtre

Dans notre quartier, il y a presque plus de chats que d’habitants. C’est à se demander si quelqu’un fait un élevage ou quoi. Parmi tous ces félins, 2 ou 3, facilement indentifiables, tournent autour de notre maison régulièrement. Le plus assidu étant une madame chat toute blanche. La première fois que je l’ai vue je l’ai baptisée le chat-fantôme.
C’était un soir, j’étais tranquillement assise sur la canapé devant la télé, quand ce chat est venu poser ses deux pattes de devant sur le bord de la porte fenêtre, juste en face de moi. Un chat blanc à moitié debout, avec deux yeux jaunes qui brillent dans la nuit, ça ficherait presque la trouille...

N’empêche que le chat-fantôme semble bien aimer notre maison et particulièrement la fenêtre de la cuisine. Il passe des heures assis là, parfois à observer le voisinage et parfois à NOUS observer. D’ailleurs, la situation m’a rappelé ce billet de Shalima.
Moi je le trouve mignon (cœur sensible que voulez-vous) et je le ferais bien entrer mais c’est sans compter l’avis tranché de P’tit Mari. P’tit Mari aime beaucoup les animaux, plus ils sont gros plus ils ont la cote, mais il a un problème avec le concept d’animal domestique. Pour lui, c’est clair, les animaux c’est dehors, surtout pas dans la maison !

Vous me direz que faute de le faire entrer je peux lui prodiguer quelques caresses ou même lui donner quelques petits morceaux à grignoter. Mais il y a un mais. Il ne faudrait pas que le chat-fantôme soit trop à l’aise près de chez nous parce que nous avons quelqu’un dans la famille qui a une peur bleue des chats et qui n’oserait plus venir nous rendre visite si un chat rôdait trop souvent autour de chez nous. Bah, je peux toujours le prendre en photo, ça ne fait de mal à personne.

dimanche 2 décembre 2007

253 biscuits de l'Avent

J'ai commencé mon plan d'attaque pour aimer Noël. C'est dimanche après-midi biscuits! Alors, je vous explique, c'est très simple en fait. On a opté pour les biscuits de Noël classiques: les milanais. C'est facile et super yummmy! La suite en photos...

Mmmh, la délicieuse pâte délicatement pétrie par le robot de cuisine spécialement choisi par P'tit Mari. Impossible de résister à la goûter....

Ensuite, un p'tit tour au four. Nous utilisons des formes taille minuscule donc il faut surveiller la cuisisson d'assez près pour éviter les mauvaises surprises. Dommage qu'on ne puisse pas ajouter des odeurs parce qu'à cette étape ça commence à sentir super bon.


Voilà la première fournée. Quand c'est un peu chaud c'est encore meilleur. Non? Moelleux et sucré, j'adore.


Bonne préparation de Noël à toutes et à tous :-)

samedi 1 décembre 2007

Pimp my TV!

Il y a fort fort longtemps, P’tit Mari et moi ne vivions pas ensemble. Dans mon appart’ à moi, il y avait une télé, une petite télé qui faisait partie des quelques meubles appartenant au propriétaire. Dans son appart’ à lui, point de télé. Le temps passant, nous avons décidé de vivre ensemble. Une télé qui ne m’appartient pas + pas de télé = pas de télé ! P’tit Mari voyant mon désespoir de tv-addict, nous avons acheté notre première télé, un minuscule écran adapté à la taille de notre minuscule appart’ de l’époque. Un tabouret suffisait pour la poser. Le rêve.

Puis, nous avons déménagé dans un chez nous de plus de 30m carrés, oh joie. Et enfin nous nous sommes installés dans notre demeure campagnarde. C’est à ce moment que le frère de P’tit mari s’acheta un immense écran plat et nous légua son vieil écran à tube cathodique, au moins deux fois plus grand que le nôtre. Problème. La nouvelle télé est bien trop grande pour un simple tabouret branlant. De plus, nous avons maintenant un lecteur DVD, lecteur qui est bêtement posé sur le sol. Vous conviendrez qu’une visite chez le géant suédois jaune et bleu (oui je suis très claire) s’imposait.
Je ne résiste pas à vous montrer les photos « Avant » et surtout « Après »



Vous pouvez admirer un meuble suédois étiquetté « Nouveau » dans le magasin et disponible pour le mini de prix de 19.95 francs suisses (environ 13-14 euros). Et aussi: c'est un des seuls qui avait les dimensions requises pour se caser dans le p'tit coin du salon où nous mettons la télé.
Prochaine étape: un canapé!!!